mercredi 9 mars 2011

Une soirée au Palais Royal

     Lysa avait un visage allongé ; ses cheveux étaient bouclés et châtains.  Son front était haut et ses sourcils bien dessinés.  Elle était très belle et aimait porter des robes et des jupes courtes.  Elle était d’origine anglaise et elle volait depuis des années.  Un jour, elle avait même réussi à voler la reine d’Angleterre.
     Cette fois, sa mission était de voler une peinture au Palais Royal de Laeken.  Ce grand bâtiment grisâtre était surmonté du drapeau belge qui flottait.   Il comportait des endroits merveilleux comme l’escalier d’honneur, la salle du trône ou la salle de marche.  La nuit, le palais était comme un coin de paradis avec ses lumières qui brillaient et le grand parc qui l’entourait.
La peinture qu’elle avait choisie était le cadeau du dixième anniversaire du roi.  Elle avait deux complices : un homme, John, ami du roi Albert II et une femme, Catherine qui était la cuisinière du roi.  Elle leur avait donné rendez-vous à 21h.  Catherine avait tout préparé.  Ils sont entrés sans aucun problème.  La peinture se trouvait dans le living des appartements royaux.  Catherine avait servi du vin contenant un soporifique.  Le roi avait bu et s’était endormi.  Ils se sont emparés de l’œuvre d’art mais soudain, la police les a encerclés.  Ils avaient été dénoncés.            Ils ont tous les trois été condamnés à cinq ans de prison.
Binta Jah

samedi 19 juin 2010

La femme au parapluie





La porte de Hal était un trésor d’architecture et d’histoire, haut de près de 23 mètres.  Ce bâtiment était fait de briques et de pierres blanches mais à travers les années, les lierres avaient recouvert les murs.
En me promenant dans le parc à côté de la porte, j’ai vu une belle femme qui s’était assise sur un banc.  Elle avait le visage fin, ses cheveux étaient longs et ondulés.  Son front était haut et lisse et son nez, busqué.  Son teint blafard la faisait ressembler à une statue.  Elle portait une robe noire et tenait un parapluie noir.
Comme je l’avais regardée, elle s’est sentie observée et s’est tournée vers moi.  Ses yeux bleus étaient étincelants comme des étoiles filantes.  Puis son regard s’est arrêté sur une fenêtre au deuxième étage de la porte de Hal.  J’ai regardé moi aussi et j’ai vu un homme passer tout en haut.  Soudain, cette femme a pris un pistolet qui était caché dans son parapluie et elle l’a pointé sur l’inconnu.  J’ai crié : « Ne tire pas ! » elle a hésité une seconde, l’homme n’était déjà plus là.  Elle m’a fixée avec ses yeux de tueuse à gage puis s’est enfuie en me laissant pétrifiée.
Yiwei Chen

L’enlèvement





Il était une fois une vieille statue qui s’appelait Manneken Pis. On racontait beaucoup d’histoire sur ce petit garçon qui pissait.
Un jour, j’ai vu deux frères jumeaux ; ils avaient l’air fous et regardaient la statue avec détermination, comme si elle leur avait fait quelque chose.  Quelques heures plus tard, je me suis rendu au magasin de mon oncle, près de Manneken Pis.  J’avais besoin d’un peu d’argent et je voulais lui en demander.  Là, j’ai revu les deux types, habillés en noir, avec un chapeau comme ceux des artistes.  Ils portaient un grand sac poubelle.  Ils étaient venus avec une voiture sans plaques. 
Soudain, ils ont commencé à scier la statue de son socle.  Personne ne réagissait.  Après deux heures, ils ont réussi à la détacher et sont montés dans leur voiture.  Je ne savais pas quoi faire alors, j’ai prévenu la police.
Quelques jours plus tard, j’ai revu la statue, elle était revenue à sa place mais un truc clochait : elle n’avais pas l’air à 100% semblable à ce qu’elle était.  Peu importe, je suis rentré chez moi.  A la télé j’ai vu ces deux hommes qui avaient été arrêtés… bizarre !
Vincent Ongunjimi

Kidnapping à l’Atomium



L’Atomium, monument mythique de l’Expo 58, brillait de mille feux sous le ciel de Bruxelles, la nuit du nouvel an. Le monument était composé de 9 boules qui représentaient les anciennes neuf provinces de Belgique mais aussi un atome de fer.
Cecilia savait qu’une des sphères était réservée aux enfants des écoles riches.  Elle pouvait loger des groupes scolaires dans le cadre de « classes citadines ».  Elle devait profiter de l’occasion pour accomplir son crime.
Cecilia avait un visage allongé. Ses cheveux étaient bouclés et châtains.  Son front était haut comme celui du Docteur Watson.  Ses sourcils bien dessinés, ses yeux noisette enfoncés lui donnaient l’air sympathique, c’est ce qui lui servirait à obtenir la confiance des enfants.  Elle s’habillait parfois en clown ou en Père Noël pour les besoins de ses crimes.  En dehors de ça, elle était élégante et intelligente.
Tout près de l’Atomium se trouvait un parc, c’est là qu’elle avait garé sa voiture.  Bien sûr, elle attendrait la nuit car, pour tous les criminels, c’est le moment idéal pour ce genre de mission.
Elle est entrée comme n’importe qui, aidée par un complice parce que normalement, elle n’avait pas accès à la boule abritant les enfants.  C’était aussi ce garde qui lui avait parlé de Nicolas, le fils d’un homme d’affaire suisse.  Donc, Cecilia avait attendu que tous les enfants dorment pour emmener Nicolas avec elle.  Elle l’avait caché dans une ferme pour que personne ne les repèrent.  Puis, elle avait appelé le père pour lui demander 1 million d’euros de rançon.  Le riche homme d’affaire avait accepté malgré le montant exagéré car il adorait son enfant.
Mais le jour de l’échange, comme elle avait laissé Nicolas rejoindre son père, un policier qui l’attendait s’est jetée sur elle.  Son complice avait eu la gentillesse de la dénoncer !
Cecilia en a pris pour 5 ans de prison.  Elle s’était juré de ne jamais laisser son complice en paix.
Wassila Mammad

Kidnapping au Palais Royal



Le Palais Royal de Laeken… un bâtiment immense entourée d’une grille d’environ dix mètres de long recouverte d’or.  Juste en entrant, après la grande porte d’entrée, il y avait une maison de couleur blanche.
Pour atteindre cet édifice, il avait rencontré quelques arbres qui lui avait permis de se faufiler discrètement.  Mais toutes les portes étaient verrouillées et il fallait un code d’accès pour pouvoir les franchir.
Taylor avait un visage ovale, ses cheveux étaient courts et noirs. Il avait un nez droit et des lèvres fines.  Il portait un t-shirt rouge  et un jeans noir qui avait une coupure au niveau du genou.  Quand il est arrivé devant la porte, elle était déjà ouverte grâce à son complice qui habitait dans la résidence.  Il a parcouru les dizaines de pièces hautes comme celles du parlement pour atteindre celle où se trouvait une des princesses.  Mais Taylor et son associé ont été interrompus par un garde qui venait transmettre un message à l’enfant de la part de son père.  L’enlèvement allait être retardé.
Quelques minutes plus tard, tout se déroulait comme ils l’avaient prévu.  Le plus difficile avait été de convaincre la princesse de quitter sa chambre.  Après l’avoir capturée, ils sont ressortis par une porte qui donnait sur un petit jardin.  Dehors, une voiture les attendait.  C’est alors qu’un garde a attrapé le complice, laissant Taylor s’enfuir seul.
Au palais, on avait remarqué l’absence de la petite fille et l’associé de Taylor avait fini par le dénoncer.  La police n’avait plus qu’à l’arrêter.
Sarah Katende

Panique à City 2



Le grand centre commercial « City 2 » se composait de 4 étages et comptait plus de 100 magasins.  Le plus grand centre commercial de Belgique a connu sa fin hier.
Le seul responsable mesurait 1m70 et s’habillait comme le Père Noël.  On ne savait pas encore ce qu’il revendiquait.
Le coup avait eu lieu le 11 novembre 2011.  L’homme était arrivé en Belgique par avion avec de faux documents d’identité et il avait fait le trajet Zaventem-Rogier en bus.  Une fois arrivé, il avait crié qu’il y aurait un attentat dans le centre commercial.  Tout le monde avait trouvé la blague de très mauvais goût et il avait été emmené au poste de police pour tapage dans un lieu public.
Alors qu’il parlait avec un policier, un tram est arrivé et a explosé ! Les pompiers ont été appelés et, une fois arrivés, un autre désastre était sur le point de se réaliser : un avion de la compagnie « Airplosion » heurtait de plein fouet le centre commercial.  Les urgences, les policiers, le FBI, la Nasa,etc tous ont été contactés pour aider à secourir les gens.  Tout était explosé, il y avait 500.000 morts et plus de 431.000 blessés.  C’était comme la fin du monde.
Après cette attaque terroriste, nous avons été informés que le responsable était toujours en prison en attente de son jugement.
Gustavo De Oliveira

Place Sainte Catherine…



Un endroit agréable pour passer la journée.  C’est le lieu où il y a une grande foire en hiver.
L’homme avait un complice qui se faisait passer pour un forain.  Il se promenait avec sa femme Marline qui avait un visage allongé, les cheveux mi-longs et bouclés, toujours attachés.  Son front lisse et ses sourcils bien dessinés la faisaient ressembler à une barbie sortie tout droit d’une usine.  Elle portait toujours des robes noires.  Elle avait décidé de se marier avec un homme très grand mais pas très beau.  La laideur de cet homme l’avait rendue infidèle.  Il l’avait appris et avait décidé de se venger.
Ils étaient arrivés près de la grande roue et surtout près du complice.  L’homme a dit à sa femme de l’attendre dans la voiture, qu’il allait chercher quelque chose au snack.  Le complice a alors tiré sur Marline.  En ce qui concerne l’homme, il n’est jamais retourné à sa voiture…
Mariata Sow

Disparition



Manneken Pis se situait à proximité de la Grand-Place de Bruxelles, un lieu très spacieux et connu des touristes du monde entier.  C’était la statue d’un petit garçon qui avait sauvé la ville autrefois. 
Un vendredi soir, une femme au visage allongé, aux cheveux bouclés, au nez droit, aux sourcils broussailleux observait la statue.  Ses vêtements très chers lui donnaient l’air d’une actrice.
Lorsque la nuit était complètement tombée, elle s’est approché du gardien qui surveillait le monument et lui a mis un revolver sur la tempe.  Ensuite deux hommes habillés en noir sont arrivés en voiture et la femme y est entrée avec la statue.
Le lendemain, la police a retrouvé le corps du gardien…mais la statue, personne ne l’a jamais retrouvée.
Paula Alves

Belle et dangereuse



Le Palais Royal était un grand bâtiment grisâtre qui avait été construit par trois architectes de la Cour entre 1815 et 1829.  Il n’abritait plusieurs objets de valeur de toutes les époques et de tous les pays.  Les portes du palais étaient solides mais avec les technologies d’aujourd’hui, ce n’était pas un problème de les ouvrir ; trop facile pour une criminelle expérimentée comme Dayze.
Dayze était une superbe femme, d’une beauté si inimaginable que lorsqu’un homme la voyait, il en tombait directement amoureux.  Elle n’était pas qu’une belle femme, elle était aussi intelligente : elle comprenait très rapidement ce qui se passait autour d’elle.  De plus, elle savait se défendre.  Elle avait l’air fragile et douce ; personne n’aurait pu se douter de ce qui se cachait derrière cette belle fragilité.
Elle était prête à tout pour avoir ce qu’elle aimait le plus au monde : l’argent.  Cette fois, elle avait décidé de cambrioler les objets précieux du palais, qui n’était surveillé que par deux gardiens à l’intérieur.
Elle a commencé sa mission en pleine nuit.  Tout était calme au Palais Royal.  Dayze est entrée par la porte de derrière, grâce à un appareil de haute technologie, sans être aperçue des vigiles.
A l’intérieur, des centaines d’œuvres d’art l’attendaient.  Tout était trop facile : il fallait juste choisir les plus chères et sortir comme elle était rentrée.
Mais ça ne devait pas se passer comme elle le voulait : un gardien s’approchait.  Il fallait agir vite.  Dayze s’est cachée derrière un rideau et a attendu que l’homme passe devant elle.  C’est là qu’elle l’a assommé par surprise avant de continuer son chemin et s’échapper.
La nuit même, la police a été alertée par les gardiens mais il n’y avait plus rien à faire car aucune trace n’avait été laissée par le cambrioleur.  Le travail de Dayze était toujours très minutieux.

Maryana Soares

Un cambriolage de trop



La Bourse était un bâtiment très connu.  Très haut, il était composé de 6 colonnes et de 2 lions, de chaque côté de l’entrée principale de l’édifice.  Les portes, toujours verrouillées,  étaient en acier très résistant…
Un jour, j’avais aperçu un petit bouton dans la bouche d’un des deux lions… J’avais appris par la suite qu’il ouvrait à distance une petite porte de service.
Ce soir-là, je traçais mon chemin vers la Bourse et ses richesses…  En traversant la rue, j’ai vu quelqu’un assis sur les escaliers.  J’ai compris que cet homme en costume vert voulait comme moi les pierres précieuses cachées dans le bâtiment.
Cet homme était le docteur Williams.  J’avais étudié avec lui en 3ème générale. Moi, je ne l’aimais pas parce qu’il cherchait toujours la bagarre.  Il avait un visage allongé, ses cheveux étaient rasés, son front était court et bas.  Ses sourcils broussailleux, ses yeux noirs et exorbités et son nez écrasé le faisaient ressembler à Frankenstein.  Son 1,90 m faisait plutôt penser à une armoire en chêne.  Il portait toujours un costume  trois pièces dont chacune provenait manifestement d’un ensemble différent !  Il était très musclé, mais ce que Dieu lui avait donné au physique, il lui avait retiré en intelligence.
De loin, j’observais le docteur Williams.  Il avait l’air nerveux, il n’arrêtait pas de regarder à gauche et à droite…  Il y avait trop de gens qui passaient sur le trottoir.  Après plus ou moins trois minutes, il s’est levé d’un coup et s’est dirigé vers les portes du bâtiment.
Il a essayé de forcer l’une d’elles mais n’y est pas arrivé.  Il a alors cassé une vitre qui donnait sur le hall d’entrée.  Il avait beaucoup de chances parce qu’il n’y avait personne aux environs.
Après avoir pénétré à l’intérieur, je ne sais pas ce qu’il a fait mais l’alarme s’est déclenchée.  En quelques minutes, les policiers étaient tous là.  Williams n’avait même pas eu le temps de sortir.
La suite, vous la connaissez : il allait être condamné à 13 ans de prison.  Moi, depuis ce jour, je n’ai plus jamais pensé à prendre ce qui n’était pas à moi.
Habner Hipolito Da Silva

Faux espoirs



Le Palais de Justice de Bruxelles est un des monuments les plus remarquables, élevé en Europe au 19ème siècle.  Il avait coûté des 45 millions de francs à l’époque.
Il comportait de nombreuses pièces très diverses : salles d’audience, greffes, locaux d’archives ou cellules pour détenus.
Un jour, un prisonnier devait être jugé pour un crime très grave.  Son frère Chris était venu pour le faire sortir de là.  Visage ovale, cheveux courts, front fuyant, sourcils fins, yeux ronds, nez busqué et barbichette, il passait inaperçu.  Mais cette fois, il s’était déguisé en juge.
Il avait rejoint son frère dans sa cellule, et l’emmenait afin de sortir par les vieilles caves du Palais.  Hélas, alors qu’ils s’éloignaient, un policier les a repérés et les a abattus tous les deux.
Bogdan Vinturache

Promenade nocturne dans l’Atomium



L’Atomium, un bâtiment mythique de l’exposition universelle de Bruxelles en 1958, imposant de 102 mètres de haut, en forme d’atome de fer…
Vers minuit, les 9 énormes boules lumineuses dominaient le parc.
Roof était un homme âgé d’une trentaine d’années. Le visage allongé, les cheveux courts et noirs, le front grand et large le faisant ressembler à un clown. Il avait également des sourcils fins, des yeux noirs en amande.
Toutes les portes des escaliers extérieurs de l’Atomium étaient fermées à cette heure-là. Mais en passant de côté, on pouvait grimper, atteindre la plus haute sphère et se glisser discrètement pour ne pas être vu par le gardien qui surveillait de son bureau.
Le complice de Roof devait laisser une des portes de la boule centrale ouverte. C’était là qu’il devait aller pour atteindre la caisse du restaurant.
Il s’avançait dans l’escalier, sans bruit. Tout-à-coup, un surveillant est passé par là et l’a vu alors qu’il se baissait. Son chien s’est mis à aboyer et à sauter dans la direction de Roof.
Il n’avait pas le choix : c’était lui ou le trésor… Complètement affolé, il s’est enfui, poursuivi par le chien.
Abdeslam Abbou

vendredi 30 octobre 2009

Les statues d'or du Sablon


L’église Notre-Dame du Sablon était un bâtiment très grand et vieux d’un siècle.  Ses portes énormes étaient surmontées par des chevaux au galop.  Ses vitraux très grands étaient toujours admirés par ceux qui passaient par là.
Derrière ces portes se trouvaient des statues en or.  Un homme qui avait les sourcils épais et les yeux écartés attendait, caché dans un coin.  Il était grand, mince et très intelligent.  Il portait un sac en toile pour y cacher les statues.
Comme personne ne se trouvait jamais dans l’église, il a réussi son crime sans aucun obstacle.  Il pouvait maintenant rentrer chez lui.
Ionut Bejinaru